La défaite du syli national de Guinée en huitième de finale de la CAN 2019, dimanche soir face à l’Algérie (3-0) est loin d’être un débat clôt à Conakry. Et la période est perçue comme celle de dénonciation dans tous les sens. Ce, en attendant que les leçons soient tirées à l’issue desquelles, les guinéens espèrent voir pour une fois les responsabilités situées voire imputées aux fautifs, comme s’engage à le faire, le ministère sports dans un communiqué dont il s’est fendu lundi soir et qui a été lu dans le journal télévisé de la RTG1.
Dans une vidéo publiée sur Facebook où l’on voit le micro de la télévision privée Espace TV, Amadou Diouldé Diallo, journaliste sportif guinéen et Historien de renommée mondiale, a réitéré ses propos tenus, il y’a quelques jours sur les ondes du même média mais version Radio (Espace FM), accusant le président de la feguifoot Antonio Souaré et son vice-président Amadou Diaby d’être à la base de ce qu’il appelle la « corruption généralisée [du football guinéen] « .
Pour l’ancien chef de département médias et communication « il faut avoir le courage de dire, il y’a une corruption généralisée du football guinéen aujourd’hui et le syli national n’y fait pas exception. Et ça, je dis encore, cette corruption généralisée, y’a pas trois, quatre personnes, il y’a que deux personnes : Antonio Souaré et Amadou Diaby. Je suis prêt à m’asseoir en débat avec eux, carte sur table, je peux les confondre, preuve à l’appui. » déclare-t-il dans la vidéo ci-jointe où vous pouvez lire en intégralité la réaction du vice président Afrique de l’association internationale de la presse sportive (AIPS), Amadou Diouldé Diallo.
Bonne lecture !